Très bonne question !!!
Définition du dictionnaire de L'Académie française, 1ère Edition (1694) :
citation :
CENS. s. m. Rente qui est deue à un Seigneur à cause de son fief. Cens & rente. payer les cens. il doit dix sols de cens. il abandonne la terre pour le cens. Cette derniere phrase se dit aussi figurément, pour dire, qu'On renonce à un bien parce qu'il est plus onereux que profitable.
Ainsi, il pourrait bien s'agir d'un code qui fait référence à un impot d'état. Qu'en penses-tu ?
Mais il y a deux autres possbilités.
L'orthographe de la langue française n'était pas figée au 16ème et, en bon provençal, Nostradamus aurait pris des libertés.
Il y a aussi l'éventualité des erreurs typographique à l'imprimerie. On trouve plusieurs erreurs de ce genre, comme par exemple lorsqu'on lit "Borne', (Borne et Bretueil) et qu'il s'agit certainement de "Rome". Effet volontaire ou non, il s'agit d'erreurs typographiques, de jeux de mots ou de cryptage du sens. Avec "Cens" on aurait un double sens.
Y aurait-il eu en 1999, ou aux environs du passage du millénaire, des événements qui causeraient "qu'On renonce à un bien parce qu'il est plus onereux que profitable. "
Ceci pourrait évoquer une faillite du système dont il y a des signes actuellement.