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Forum des prophètes
66-6 dans la Bible
publié par Lucas, le 28-02-2004
Le 66ème livre de la Bible est l'Apocalypse de St-Jean. Il ne manque qu'à comprendre le 3ème 6. Et il s'agit du 6ème sceau, qui correspond à la 6ème coupe de la colère de Dieu...
Alors, pour récapituler, il s'agit du 6ème fléau du 66ème livre de la Bible... et je recommande à chacun de retourner à la lecture du livre, car le moment est tout proche.S'inscrireConnexionPrivéNouveau sujet
666 thomas didyme jumeau
publié par exe_jet, le 04-03-2004
judas iscariote:judica assertio:juge sur une assertion:une propositios que l'on avance comme vrai.S'inscrireConnexionPrivéNouveau sujet
666
publié par Jean-Fred, le 05-03-2004
Le 666 se réfère à la symbolique :
La bête pourra être identifée par le fait que les 3 piliers, 3 stades de l'évolution, en seront rendus à leur paroxisme.
Exemple:
Maîtrise au niveau physique : matériaux construits à partir de leurs particules,
Synchrétisme religieux,
Organisation sociale (inter)planétaire et longétivité.
La bête intervient car l'homme perd son âme, sa liberté... et devient animale.
L'homme est beaucoup plus primitif qu'on ne le pense. Sa fonction première est celle de s'autoperpétrer et non d'être car sa condition n'est qu'une illusion.
Cela dit, il n'en faut pas moins conserver les tabous pour éviter le grand vertige que les philosophes ont mis en évidence depuis des années dont l'humanité finira par se rendre prisonnière.
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Le cercle et le 666
publié par Jean-Fred, le 26-03-2004
Les conservateurs vont s'accomoder du 666 plutôt que de s'ouvrir aux autres. Il s'agit d'une atrophie qui consiste à rechercher les réponses tantdis qu'il demeure dans son monde confiné et refuse l'ouverture et un appui extérieur. On dit du diamant qu'il tire son éclat de l'impureté du carbone.
Le 666 EST une pure création masculine, la femme étant beaucoup moins conservatrice.
A cette époque future, nous serons arrivé au scientisme et la morale sera dépassée.
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Mathématique du cercle et moralité
publié par Marius, le 27-03-2004
D'abord, si le nombre pi est infini dans le système décimal, il faut aussi se demander si c'est le cas pour toutes les bases, mais si la logique est bonne cela devrait l'être. Je vois le sens symbolique de la représentation du cercle, mais je suis sceptique sur la réalité de l'explication mathématique de la chose. En fait, si Pi ne se résout pas, c'est parce que l'esprit (humain) tente de définir le cercle en termes d'une infinité de droites mises bout à bout d'une taille de plus en plus spécifique et d'une trajectoire toujours corrigée. Mais c'est le cercle qui définit le plan et non la droite. Il faut inverser le raisonnement par un système de comptage non pas incrémental mais continu. C'est à dire qu'il faut définir la droite par le cercle et non le cercle par 2 axes perpendiculaires de type x et y.
(Essayez donc de peser un litre d'eau dans une passoire)
Le second point concerne la morale et amène des questions sur le féminisme que vous évoquez. Conservatisme et progressisme au sens où vous l'entendez se définissent à la frontière du présent et du passé. Quant au bien et au mal, ils dépendent de circonstances présentes issues de la rencontre du passé et du futur. L'un serait à votre idée moral et l'autre non. Je pense pour ma part que le juste équilibre, la voie du milieu, est la seule voie morale possible et que la société évolue pour trouver ce point d'équilibre.
En conclusion et en poursuivant votre idée, je définirais le 666 en en disant qu'il n'est compréhensible que d'un point de vue relatif : Vu sous l'angle d'un plan à 2 axes sur lequel on trace une infinité de droites dont on ajuste la trajectoire à l'infini, on en occulte que le postulat de base n'est pas posé correctement pour résoudre le problème. Et sur le plan moral, je vois un déséquilibre entre deux nécessités fournies par les deux forces constitutives du monde : le passé et le futur, évoluer ou rester immuable, l'un mu par l'illusion que tout sera mieux demain, et l'autre cherchant à figer les acquis. Le déséquilibre qui trouve son origine dans l'ignorance de la force de l'autre se résout forcément avec une certaine dose de friction.
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